Les nouvelles que nous recevons du Centre de Bobo Dioulasso nous tiennent informés des avancées du travail de développement effectué par nos partenaires auprès des femmes de Ouezzinville. Nous avions reçu en février une photo des nouveaux manuels d’alphabétisation bilingues en dioula et français. Nous savions que le travail de mise en place dans un espace à trouver était en cours…

MANUELS SCOLAIRES

Nous recevons aujourd’hui 29 mars quelques photos qui nous réjouissent : Madame Elisabeth Sawadogo, fidèle au poste, se lance dans l’alphabétisation de 17  femmes de ce quartier populaire de Ouezzinville. Elles seront rejointes rapidement par d’autres femmes puisque les nouvelles vont vite dans ce quartier et que les besoins en développement humain sont immenses. Les cours ont débuté le jeudi 26 mars et auront lieu quotidiennement en semaine.
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Notre ami, Adama Tinto,  nous envoie un mail qui nous met à l’aise : le travail s’effectue avec sérieux et dynamisme ! Adama Tinto garant de l’organisation des activités, maintient l’ordre  avec une poigne toute africaine et assure au travail de développement une stabilité qui devrait le rendre efficace et pérenne. Le Bureau de l’association le remercie de son implication.

Bonjour chers Bruels,

J’espère que vos activités progressent bien . Ici nous tenons contre vents et marées et nous avons réussi la scolarisation de nouvelles femmes vu que les anciennes ont abandonné sous l’influence des mauvais conseils de leur prédécesseurs. J’ai mis en place ma propre stratégie qui a bien fonctionné, et j’ai réussi à les convaincre d’adhérer à leur propre scolarisation. Emmanuel devrait vous envoyer les images depuis hier je ne sais pas si vous les aviez reçu ou pas. Nous leurs transmettons le savoir à mon domicile en attendant d’installer le hangar sur un terrain voisin avant le début de la saison des pluies. Nous avions pris en charge les manuels scolaires de 17 femmes et   les activités ont  débuté le jeudi dernier mais l’affluence fut moindre vu qu’ici au Burkina les jeudis sont réservés aux mariages beaucoup de femmes y étaient.  L’alphabétisation des femmes a lieu 5 fois par semaines et c’ est vraiment un grand avantage pour elles et pour leur famille.

Recevez toutes nos amitiés. Tinto Adama

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« Madame OUEDRAOGO Minata dans le but de venir en aide à ses sœurs Burkinabè a bien voulu mettre en place cette Association dénommée BADENYA.
Une association pour quoi faire ?
Notre Association a été mise en place pour permettre aux femmes du village de Saaba, proche de Ouagadougou, de se retrouver, de discuter entre elles afin de trouver des solutions aux problèmes qu’elles rencontrent et le faite de se retrouver une ou deux fois par mois renforce la fraternité, la solidarité entre elles. D’où la dénomination « BADENYA » de notre Association qui veut dire FRATERNITE en français et MABISSI en Mooré.
Une fois que l’esprit de fraternité installé, nous cherchons à développer des activités au profit des femmes, ce que nous tentons de faire en accordant des petits crédits aux femmes pour leur permettre de conduire à bien les activités qu’elles mènent déjà.
1. Car il y a des femmes pour survivre concasse les pierres qu’elles revendent, ou même ramassent le sable après les pluies et ce travail entraîne beaucoup de problèmes tels que des bronchites chroniques dues à la poussière qu’elles respirent.

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Car au Burkina les femmes souffrent beaucoup, ce sont elles qui font travaux ménagers et elles qui s’occupent de leurs enfants et même souvent de la survie du foyer.
C’est dans ce sens que j’ai commencé à mettre et réunir les membres de Badenya, car pour que les femmes viennent aux rencontres il faut les motiver, et pour cela avec mon salaire du mois je trouvais chaque mois quelques francs pour les femmes à tour de rôle pour leurs activités génératrices de revenus.
Et au fur et à mesure que certaines remboursent d’autres en bénéficient également.

Segda Suzane recevant une somme de 10 000f pour ses tissages

C’est ainsi que nous avons des femmes aujourd’hui qui vendent de la bière de mil, d’autres de la farine de maïs pour le tô un plat Burkinabè.
Et avec le peu d’argent elles reçoivent leur permet de vendre leur bière de mil ou de faire du tissage.

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Et nous n’entendons pas nous arrêter en si bon chemin, nous avons l’ambition d’entreprendre des actions d’intérêts économiques et sociaux.
Pour cela notre association situe son action dans la perspective d’un développement durable, la lutte contre l’analphabétisme et la pauvreté. Elle porte également des valeurs humanistes, dans le sens où la fraternité est une forme concrète de solidarité entre les femmes et qu’elle favorise la rencontre et la création de lien social.
C’est ainsi que nous avons à notre actif une école maternelle et primaire pour l’alphabétisation des enfants….

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…et sans oublier des femmes elles-mêmes qui tiennent à cela.

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Des femmes déterminées même avec des enfants dans le dos pour mettre fin à l’ignorance.

Nous avons aussi un garçon dans le groupe :

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Les moyens de l’association

BADENYA n’ayant  pas de ressources à proprement parler, le bureau se débrouille avec peu pour satisfaire les femmes en leurs accordant de petits crédits pour leurs activités.
Mais il faut dire cela est difficile pour moi la présidente car nous sommes en location pour ce qui des bâtiments d’alphabétisation, ce qui est trop lourd pour moi, en ce sens c’est une charge que je porte sur la tête et que je ne pas déposer que faire ? Une interrogation pour laquelle nous cherchons la réponse
C’est pour cela que !!!!!!
BADENYA se propose  de rechercher les moyens matériels, financiers et humains auprès des personnes physiques et morales en vue d’entreprendre des actions au bénéfice des femmes du village.

Les chantiers de l’association

Le premier chantier de notre association était la construction d’un centre de formation où on aurait des salles de classe pour l’alphabétisation des filles et des femmes et aussi le lieu de divers ateliers de couture, menuiserie soudure etc et ou les femmes pourraient fabriquer du soumbala, du savons etc.
Le second chantier concerne le projet d’élevage de volaille locale.
Et, pour terminer nos ambitions, sont qu’au terme de ses différents projets, l’association puisse atteindre son équilibre économique et financier. »

Le Bureau de Zóodo ému par le courage et la ténacité des femmes de Badenya apporte son soutien à cette association depuis 2013.  Nous vendons avec succès l’artisanat produit ou acheté par les femmes de l’association ( jetés de lit, nappes confectionnés par les tisserandes, savons, colliers, jouets….). Les bénéfices confortables réalisés sur les marchés et festivals français confortent leur travail. Notre problème étant de trouver des Français ou des Burkinabè qui viennent en France  et acceptent de se charger du transport  de l’artisanat dans leurs valises. L’hiver se termine et avec les beaux jours les ventes de leur artisanat vont reprendre. Elles aident ces femmes à subvenir à leurs biens modestes ressources. Merci d’y penser…..

Depuis notre rencontre, lors de notre dernier séjour au Burkina – Faso, notre amie Sara Sanou-Traoré, nous a sensibilisés aux problèmes sociaux du village de Yagma : une vaste aire ni sûre, ni salubre, réservée aux réfugiés, située à une vingtaine de kilomètres  du centre  de Ouagadougou. Elle nous a  fait part de son travail d’éducatrice au centre Dorcas House situé dans cette zone où les jeunes sont privés de tout. Le  centre accueille des jeunes orphelines, leur donne une formation de couturières et les alphabétise ou leur permet de poursuivre leurs études primaires.

Photo de classe nov 2014

 Les jeunes parisiens du lycée Le Rebours  du XIIIème arrondissement ont été très sensibles à l’extrême précarité de la condition des jeunes de leur âge là-bas à  5505 km de Paris. Pleinement humanistes et enthousiastes, ils ont décidé  d’apporter leur concours à un parrainage destiné à des jeunes. Grâce à eux de nouvelles orphelines,  venues en priorité  de Zongo, vont pouvoir apprendre un métier et améliorer considérablement leurs avenirs. Ils nous ont fait part de leur travail et rédigé un article pour le blog que nous vous joignons : « Nous sommes la classe de Terminale PGA1 du Lycée parisien « Le Rebours ». Nous participons depuis un an à un projet humanitaire avec l’association Zóodo. Dans le cadre de notre formation, nous devons réaliser des projets réels nous permettant de mettre en œuvre nos compétences en communication, gestion et organisation.

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Émeline et Élodie tiennent la comptabilité les premiers lots pour la tombola

L’idée d’agir avec une association humanitaire nous a motivés car nous nous sentions utiles et cela nous permettait de mieux connaître les problèmes d’autres populations. Depuis le début de l’année 2014, nous avons appris à connaître cette association et avons décidé d’adhérer à leur projet car nous croyons en cette cause. Dans le cadre de ce projet pour lequel l’objectif global est de récolter des fonds, nous avons mis en place plusieurs activités. Depuis le mois de mars 2014, après avoir rencontré Jean Marc et Anne Marie Bruel autour d’un super échange et déjeuner, nous avons été en activité intense pour optimiser au mieux notre récolte de fonds jusqu’au 19 décembre, date de la journée des talents (fête annuelle de notre lycée où chaque classe présente ses projets culturels, associatifs, humanitaires ou caritatifs). Les quatre actions autour desquelles nous nous sommes mobilisés ont été :  Un vide grenier sur la Butte aux Cailles, dans le 13è arrondissement à Paris en novembre dernier,  un bol de riz à la cantine du lycée  Une tombola lors de la fête des Talents  Une vente de gâteaux pour Noël

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Remplissage des 63 sachets de cosmétiques servant de lots pour la tombola

Lors du vide grenier nous avons essayé de vendre quelques bijoux confiés par Zoodo, mais surtout des vêtements et livres donnés par diverses personnes de notre entourage au profit de l’association. Malgré la pluie intense que nous avons subi ce jour là, nous avons, contre vents et marées, résisté de 7h30 à 18h un dimanche afin de constituer une première cagnotte de 160€. Lors de la journée bol de riz du lycée, les personnes mangeant à la cantine choisissaient un ticket de couleur différente selon l’action à laquelle ils souhaitaient participer par leur repas. Notre classe a remporté la plus grosse partie ce jour là avec 57€ pour Zoodo, contre 45 et 43 pour les autres actions des autres classes. Nous avons créé une page Facebook afin d’aider la vente des bijoux avant le 19 décembre. La tombola, pour laquelle nous avons récolté de nombreux lots auprès de plusieurs entreprises de Paris contactées, a eu lieu, comme la vente de gâteaux, juste avant les vacances scolaires de Noël lors de la fête des talents. Elle a connu un grand succès car nous avions récolté 210 lots !

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Patricia et Alexandre vendent des tickets pour la tombola, le soir de la réunion parents/profs

Même si notre action est officiellement terminée, nous souhaitons tenter de vendre le reste du stock de colliers et bagues lors de la journée portes-ouvertes du lycée fin janvier Nous sommes fiers d’avoir récolté au total depuis le début la somme de 1063,50€, qui ont été remis par notre professeur Marie Catherine Thammalaksa à M. Bruel. Grâce à cette action, cela nous a permis de mieux comprendre ce qui se passe dans certains pays comme le Burkina en terme économique, social et politique. Nos regards se sont ouverts sur les problèmes que rencontrent les populations défavorisées du Burkina et nous avons appris beaucoup de choses que nous ne savions pas (problèmes liés à l’alphabétisation, scolarisation, logement, travail, place des femmes dans la société, travail des enfants etc…). Nous allons à présent finaliser tout cela par la mise en place d’une exposition sur Zoodo et le Burkina au CDI de notre lycée afin de sensibiliser encore plus les autres élèves et professeurs. A présent il nous reste à souhaiter bonne chance à Zoodo et tous ses acteurs pour la suite de leurs actions sur place et nous savons que notre collecte, aussi petite soit elle, sera utilisée à bon escient.

Bonne année 2015 à tous !

La classe de terminale professionnelle Gestion Administration

Carla, Sarah, Anthony, Clara, Soufiane, Maryam, Kevin,

Alexandre, Elodie, Déborah, Ceren, Emeline, Angeline, Patricia,

Soraya, Marie-Alix, Laura et Alizée,

accompagnés par leurs professeurs

Marie-Catherine Thammalaksa et Dominique Wybo.

 

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Décidément l’année 2014 a été compliquée pour le centre d’alphabétisation de Bobo Dioulasso que nous soutenons depuis 2009.  Les femmes alphabétisées avaient trouvé l’asile chez notre ami Casimir Ouédraogo, fin avril 2014, dans les locaux occupés par l’APEJE. Début décembre, Casimir a dû quitter précipitamment, les locaux que son association occupait depuis de nombreuses années  car le propriétaire de « la cour » les a récupérés sans état d’âme.

Un ami fidèle toujours prêt à nous aider depuis 2010,  Adama Tinto, a accepté d’héberger les activités du centre Yélensira. Le hangar construit, fin 2013, dans le centre Loni Suma en est à son second déménagement… Pour mémoire, Adama est responsable du suivi médico-social du parrainage de la jeune Sarah que nous avons sauvée au mois de novembre 2013, grâce à un fantastique mouvement de solidarité parmi les adhérents de ZÓODO. Depuis cette date, nous lui virons  également les indemnités et les charges du centre Yelensira.

ADAMA-TINTO Casimir s’est réinstallé loin de Ouezzinville et le Bureau de l’association remercie Adama d’avoir récupéré la gestion financière des activités en aide à Elisabeth qui est attachée au travail en tandem avec un Conseiller Technique. Vous apprécierez la clarté de sa gestion qui nous tranquillise après les soucis avec certains de nos partenaires et les mesures adoptées par le Bureau pour obtenir une réelle transparence financière.

« Bonjour monsieur et madame Bruel

Les femmes ont commencé leur activité de savonnerie, il y a de cela 3 semaines, j’ai pu injecter 274800f (418 €) pour payer la matière de base (beurre de karité et huile de coco). Les femmes ont fabriqué 1400 boules de savons que vous voyez sur les photos exposés sur la table et à l’intérieur des cartons, elles commenceront la commercialisation le samedi. Nous avons ciblé les femmes de Ouezzinville  vivant dans le dénuement total.

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SAVONNERIE DÉBUT 2015 1

  Pour qu’il n’y ait plus de dérapage dans la gestion, les femmes devront signer une décharge qui les engage à rembourser dans un délai de 12 jours pour ne pas avoir à répondre devant l’huissier.

Les femmes fautives de mauvaise gestion ont été purement et simplement remerciées.

Les produits sont de qualité et si l’écoulement se passe vite, elles pourront se faire 27000 f par mois chacune (41 € sachant que le salaire moyen est de 15 €).

Pour l’alphabétisation, nous avons lancé un avis de recrutement de nouvelles  élèves, sous proposition d’Elisabeth. Elle doit passer ce soir récupérer l’argent pour les manuels d’alphabétisation. Nous croyons que d’ici la semaine prochaine ce volet démarrera également.

Très bonne journée à vous, amitiés.

Tinto »

Merci Adama pour votre gestion sans fioriture,  « à l’africaine », qui nous permet d’envisager  avec sérénité l’avenir du centre et des  femmes de Ouezzinville qui font appel à l’association pour améliorer leur existence.

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Webmaster le 13/11/2014

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Nous nous sommes réunis comme prévu, samedi 8 novembre à la Salle des fêtes de Gelle. Le quorum atteint, grâce aux nombreuses procurations des adhérents, nous nous sommes mis au travail. Jean-Marc et Anne-Marie ont présenté conjointement les bilans. L’ensemble des rapports ont été gratifiés à l’unanimité. Les adhérents absents lors de l’assemblée ont reçu par mail le pavé rédigé à cette occasion.

Voilà donc les décisions essentielles :

RAPPORT D’ORIENTATION

Désormais les enseignants portent la responsabilité de la communication ce qui a amélioré la régularité de leurs mails. L’implantation d’une savonnerie en pays gourmantché sera le grand chantier 2015. Maintenir et développer si possible l’existant et gérer les parrainages constitue notre feuille de route. Rasmata Badini vient de se lancer dans la création de classes de collège doublées de sections d’apprentissage ce qui va simplifier le suivi des adolescents. Mireille Gilles-Farges souhaite garder un lien avec Augustin ce qui sera poursuivi à titre privé puisqu’Augustin bénéficie d’un parrainage social.

Nous allons renforcer les liens avec l’association Badenya : Minata Sanou arrive régulièrement, grâce à des connaissances, à nous faire passer de l’artisanat et nous aide à la tenue du blog par ses articles. Nous souhaitons aider dans son combat son association dynamique.

DÉCISIONS PRISES COLLECTIVEMENT LORS DE L’AG

1. Si la recherche de nouveaux adhérents et l’élargissement du nombre d’adhésions parmi les donateurs restera la préoccupation du Bureau dans les prochains mois, le paiement de la cotisation ne constitue pas une obligation. Les donateurs sont automatiquement adhérents à moins qu’ils le refusent expressément.

 

2. Il a été mis fin unanimement au partenariat avec l’Association ASPROD de Zongo. Cela signifie qu’aucune dotation ne sera attribuée à cette association dans l’avenir. Cependant, M Augustin Kabré qui reçoit un parrainage social  continuera à percevoir l’argent remis à Zóodo à titre personnel. Il sera recherché également des secours à titre social et privé pour les enseignantes Mmes Aminata Ouédraogo et Mahimounata Tiemdrébéogo. Ces parrainages seront perçus par M Augustin Kabré et c’est Mireille Gilles-Farges chargée du suivi des parrainages qui se chargera des virements.

  3. Le Bureau se félicite du partenariat avec l’association BADENYA et souhaite développer les ventes d’artisanat fourni par cette association. D’éventuelles dotations directes au développement sont exclues actuellement. Cependant, bien évidemment, les dons d’adhérents sensibles au travail remarquable de l’association seraient naturellement transmis à sa Présidente Mme Minata Sanou-Ouédraogo.

 

LE BUREAU DE L’ ASSOCIATION (exercice 2014-2015)

– Président: JEAN-MARC BRUEL domicilié à Asplos- Gelle 12700 CAUSSE ET DIÈGE

– Vice Président JEAN DA PIEDADE Domicilié à Villeneuve dans l’Aveyron

– Trésorier : KAREL FAILLE domicilié à Rodez dans l’Aveyron

– Trésorière Adjointe Responsable du suivi des activités génératrices de revenus au BF CORINNE TEULIER domiciliée dans l’Héraut en partance pour l’île de la Réunion. 

– Trésorier Adjoint, JACQUES CHIAPELLO domicilié en Dordogne.

– Secrétaire : ANNE-MARIE BRUEL-‘FAILLE Chargée du développement des projets d’alphabétisation pour adultes au BF domiciliée à Asplos- Gelle 12700 CAUSSE ET DIÈGE

– Secrétaire adjointe Mireille GILLES-FARGES: domiciliée à Cournon d’Auvergne dans le Puy de Dôme

  • Personnes ressources et/ou chargées de missions :

 NATACHA KOUMAN Chargée de communication avec le B.F domiciliée à Rodez dans l’Aveyron

MOUSSA ABDA et ALINE GAUTHIER chargés de mission à l’organisation des festivals et des marchés en Île de France.

 

Après l’Assemblée Générale, nous avons dégusté le menu africain composé entre autre du  fameux poulet yassa préparé par Tatie Marie-Louise. Tonton Rabiou nous a fait la surprise de clôturer la soirée en nous racontant quelques belles légendes du Niger. Merci pour votre fidélité et vos points de vue qui nous aident à avancer.

RABIOU ET MARIE-LOUISE AG 2014